après Shiya-Al Ashkhirah

9 novembre
118 kms

J’ai eu beau trouver un bivouac à 2 kms de la première route, accessible uniquement en 4×4 et ben cela n’a pas manqué, il y en a un qui est passé dans la soirée, ici il faut s’attendre à tout sur ce point. Seul sur mon bivouac en bord de mer j’ai pu observer à la lampe la vie active des coquillages la nuit venue, à défaut d’une série ! Encore une belle étape très roulante, le long de la côte avec des paysages très variés, dunes de bord de mer, falaises, tantôt désert de pierres, tantôt parsemé de petits arbustes. Encore de très nombreux passages à gué, à sec, cela laisse songeur sur ce que cela peut être quand il pleut car les ouvrages d’art sont imposants. Les villages traversés apparaissent déserts, les constructions en dur se mélangent maintenant à des cabanes en bois avec enclos. J’observe des dromadaires en liberté mais je crois que dans ce pays tourné vers la voiture et le 4×4 leur rôle est dorénavant bien limité. 4×4 pour les bédouins pour transporter leur campement et les chameaux, 4×4 pour les pécheurs pour transporter le poisson et sortir les embarcations de l’eau. Arrivé à Al Ashkhirah en milieu d’après midi, c’est déjà plus animé, dernier village avant le grand sud. Là, je fais la traversée du village dans un sens puis dans l’autre et finalement on recommence,à la recherche d’un bivouac. Je passe la nuit sous une pergola de plage, ils sont très friands de ces constructions en bord de mer. Pas de possibilité de poser la tente, trop dur ou trop mou et du vent, je crois que la pergola c’est pas mal.


Tiger Rock


Finalement, de l’eau on en trouve un peu partout


Boutres

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *