El viento

26 Octobre

71 kms

Chanco-Cobquecura

J’avais prévu un peu plus mais le profil de l’étape et le vent en ont décidé autrement, la moyenne s’en est ressentie. Départ après un copieux petit-déjeuner, la route se rapproche progressivement du Pacifique ce qui est plaisant. Je passe Pelluhue, Curanipe. Les villages semblent partagés entre les cultures vivrières et l’élevage (quelques poules, vaches) et le tourisme avec principalement des cabanas (sorte de bungalows) à louer. Je rejoins ensuite une partie de ripio en plein travaux, quelques passages difficiles. Je termine le ripio pour me prendre un bon vent de face-travers sud sud-ouest, la première fois depuis mon départ et c’est vraiment usant (mes souvenirs du delta Danube remontent). Seuls les quelques surfeurs sont contents avec ce vent de mer, courageux, car ils surfent chacun dans leur coin dans une mer plutôt levée. Les changements de température sont brutaux entre les parties abritées et les parties ventées. Je décide de m’arrêter à l’hôtel à Cobquecura, petite ville au bord du Pacifique qui vit du tourisme et c’est bien la première fois que où je trouve un office du tourisme ouvert et qui fourni un plan complet de la ville, initiative à saluer. Je pose mes affaires à l’hôtel El Atardecer et je reprends le vélo pour aller apercevoir une colonie de phoques qui a élue domicile sur un rocher au bord de la plage et visiter la Iglesia de Piedra, caverne naturelle en bord de mer.

vigie

travaux
Parfois, faut s’accrocher !

surfeur
Surfeur en liberté

iglesiapiedra
La iglesia de piedra

cobquecuraville
Cobquecura côté ville

7 comments on “El viento

  1. Salut Christophe,
    Super récit de ton aventure, profite-bien et continue de faire rêver !!
    Hâte de te lire à moins que tu te joues avec la colonie de phoque hi hi !!
    Bravo à toi

  2. Hola,
    Facile de regarder le récit de ton périple assis au coin du feu en écoutant le nouvel album de William Sheller. On s’dis mais “que diable allait-il faire dans cette galère” ! Et puis de photos en anecdotes l’envie de décrocher le vélo, de retrouver les vieilles sacoches dans la malle en fer au fond de la cave, et la tente made in vieux camp, et le matelas en mousse compensée … Les souvenirs de cyclo-camping remontent. Mais oups retour sur terre car enfin pour repartir il me faudrait plusieurs remorques et une tente 6 places pour déplacer toute ma tribu 🙂 Alors je vais continuer à suivre ton périple le soir bien calé près du poêle en écoutant Willian.
    Profite de l’instant
    Valéry & Co

  3. Bonsoir Christobal
    Je t’avais déjà écrit mais pas validé!! Quel courage! c’est beau. Je pense souvent à toi et je rêve… tu as raison de réaliser les tiens. Je t’embrasse

  4. salut christophe, plage deserte ….. le nudisme est il tolere??? continue ton periple tes phoros ns font rever et voyager. as tu des contacts avec la population local ? comment est la nourriture ?
    epicee douce l apprecies tu ? bravo continue appuie sur les pedales surtout ds les cotes comme les photos !! bon courage et bravo d aller jusqu au bout de tes projets
    bises bisous de virson les bohémiens pr mémoire isabelle et roland

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