Un viaje de mil millas comienza con el primer paso

17 Octobre

110 kms

Santiago-Olmué

Sortie de Santiago très difficile, même avec le gps du smartphone j’ai réussi à me perdre. Heureusement, je suis tombé sur Tomas qui partage l’appartement avec Daniela et qui m’a remis dans le droit chemin car là je ne voyais plus trop. J’ai ensuite longé la Ruta 5 Norte, rien de bien passionnant, trafic omniprésent et vigilance de tous les instants pour voir ce qui arrive de derrière et éviter les trous sur la route. Petit à petit l’ambiance très européenne et proprette de Santiago laisse la place à des accotés de route encombrés de déchets de matériaux en tout genre… le concept de la déchetterie ne semble pas être arrivé jusqu’ici.
J’ai de la chance, je profite d’une journée qui ressemble plus à une journée d’été que de printemps (plus de 30°C dans l’après-midi), cela contraste avec la fraîcheur des deux derniers jours. J’atteins la petite ville de Tiltil à l’heure du déjeuner. La ville est spécialisée dans l’olive sous toutes ses formes et les fruits secs. Une partie d’un pan amasado plus tard (pain-olive-fromage-jambon), me voilà prêt à affronter la côte à la sortie du village. Que cela a été dur pour une entrée en matière, les 11kms d’ascension avec une bonne pente m’ont nettoyés et j’ai posé le pied à terre plusieurs fois. De plus, je n’avais pas trop bien géré au niveau de l’eau, me voilà prévenu ! Pour une première journée, je ne m’attendais pas à cela. Arrivée dans la petite ville de Olmué où se trouve le camping Club de campo Pelumpen, douche glacée.

cordilleres
Au loin la Cordillère

vue

olmue
Camping à Olmué

3 comments on “Un viaje de mil millas comienza con el primer paso

  1. Cela devait vraiment être dur pour que tu mettes un pied à terre mais en tout cas la vue est superbe et partir en automne pour se retrouver en été c’est plutôt sympa. Visite bien et fais de belles photos.

    1. Salut Christophe,

      Les premières photos nous font envie, nous avons hâte de découvrir un peu ces pays par ton intermédiaire.

      11 km de montée, était-ce très raide pour que tu mettes pied à terre, ou est-ce la beauté des paysages que te ” scotchait” sur le bas-côté?

      Est-ce ce que tu pressens l’hémisphère sud, avec des ciels différents la nuit, et la belle saison qui arrive?

      Tu vois, on se pose un peu les mêmes questions que Christine…

      Amicalement,

      C&M

      1. Une chose est sûre, à la sortie de Valparaiso j’ai bien crû que même à pied, en poussant le vélo, je n’y arriverais pas !
        La luminosité est sensiblement la même que chez nous, par contre ce sont les odeurs quand tu roules sur les petites routes, cela sent super bon avec des odeurs que l’on ne connaît pas mais bon, c’est impossible à faire passer par le blog !

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